Les Femmes pour la Palestine

À travers l’histoire, les femmes ont toujours été le pilier de la résistance au sein de toutes les sociétés, tout en étant les plus vulnérables et maltraitées dans les conflits armés.

En Palestine, cette réalité n’est malheureusement pas différente. Les bombardements de l’occupation israélienne ont causé la mort de milliers de femmes et d'enfants. Selon les données de l'ONU, ces victimes représentent 65 % du nombre total de morts dans ce génocide. Pourtant, malgré cette violence dévastatrice, les femmes de Gaza, de Cisjordanie, ainsi que celles vivant dans les camps de réfugiés au Liban, en Syrie et en Jordanie, continuent de maintenir l’unité de leurs familles dans la résistance. Elles affrontent chaque jour l'occupation, résistant aux adversités sans fin : des checkpoints à l’arrestation ou à l'assassinat de leurs enfants, époux, frères, pères et mères.

Le 15 mars, nous rendrons hommage aux femmes palestiniennes, célébrant leur courage et leur détermination face aux pires épreuves que tout être humain ne devrait jamais avoir à endurer. Nous leur exprimerons notre admiration la plus profonde et notre respect absolu, tout en affirmant notre ferme volonté de continuer à porter leurs réalités là où personne ne veut les entendre.

Avec elles. Avec la Palestine. De Montréal à Gaza, Jenine, Ramallah, Beit Hanoun, Ein El Hilew, Badawi et Yarmouk.

Rejoignez-nous 

Palestine Vivra est une organisation vivante et organique qui ne se contente pas du désir de transformer la société mais qui se veut également une école de transformation personnelle. 

Par des actions collectives directes de nature locale et internationale, notre organisation est un moyen d'apprentissage et de coexistence entre différentes personnes, valorisant la diversité des croyances comme une valeur essentielle pour développer la tolérance et la paix dans notre contexte local et mondial. 

La coexistence intergénérationnelle offre aux jeunes générations une richesse incalculable d’expériences, destinée à transformer notre réalité actuelle et à modeler un avenir où la Palestine et le reste des peuples opprimés pourront conquérir leur liberté. 

Rejoignez-nous et participez avec nous dans cet élan de solidarité. 

Éducation pour la paix

Chez Palestine Vivra, nous comprenons qu'il n'y a pas d'avenir si notre présent n'est pas une réalité de paix. 

La superficialité de nos réalités peut nous faire croire que nous vivons dans une société sans souffrance ni besoins matériels et que les décisions de nos gouvernements sont toujours correctes et pour notre bénéfice. 

Mais si nous analysons plus en profondeur, nous découvrons que la réalité est toute autre. Les gouvernements soutiennent et financent des génocides, comme celui du peuple palestinien, et des sociétés appauvries parce que des pays tiers bénéficient des impôts que nous payons pour faire la guerre. 

L'éducation ne doit pas seulement être un moyen d'acquérir des connaissances pour intégrer un marché du travail de plus en plus volatile, elle doit aussi servir à développer l'empathie avec ceux et celles qui souffrent, à susciter l'engagement et surtout à éveiller un sens critique pour que les enfants d'aujourd'hui et de demain ne tolèrent plus les génocides diffusés à la télévision comme s'il s'agissait d'une catastrophe naturelle.

Nous croyons en la paix et c'est pourquoi nous créons des outils pour la défendre.

Communiqué de Palestine Vivra sur le cessez-le-feu à Gaza

Ces jours-ci, nous regardons les médias avec un certain étonnement face à ce qui est annoncée comme une désescalade temporaire des meurtres à Gaza. Le part pris pro-israélien habituel s'exacerbe un peu plus à cette occasion par un narratif qui efface les noms et les visages des prisonnières et prisonniers palestiniens et leurs conditions de détention dans les prisons israéliennes.

Le désastre provoqué à Gaza par Israël et ses alliés - l'Union européenne, les États-Unis et le Canada principalement ont ignoré pendant des mois les recommandations des Nations Unies ainsi que des différentes organisations humanitaires dans leurs appels à un embargo sur les armes et à l'imposition de mesures coercitives pour mettre fin au génocide palestinien - ne se mesure pas seulement par la perte de vies humaines, mais aussi par les ruines laissés dans la bande de Gaza. Il n'y a plus d'universités, plus d'écoles, plus d'hôpitaux, plus de serres, absolument plus rien pour assurer un retour à la vie normale dès que possible.  

 Nous célébrons sans aucun doute l'accord conclu qui, s'il est respecté, permettra sûrement aux habitant·es de la bande de Gaza d'échapper à la loterie des projectiles israéliens et au cauchemar de se demander quotidiennement s'iels seront les prochains  dans la longue liste des mort·es de ce génocide. Mais cet accord ne ramènera pas à la vie des milliers de cadavres, ni ne permettra aux enfants de retourner dans des écoles qu'ils n'ont plus et n'apportera même pas de certitude à un peuple qui s'est vu refuser ses droits légitimes à sa terre et à son autodétermination. Cet accord ne garantit pas non plus de juger dans les instances internationales ceux et celles qui ont alimenté la machine de guerre, ni ceux et celles qui, par leurs calomnies, ont alimenté l’idéologie de haine contre le peuple arabe. Des institutions, par ailleurs, extrêmement affaiblies avec un Conseil de sécurité des Nations Unies appelé à disparaître pour préserver la paix mondiale, rendant tout son pouvoir à une Assemblée générale où tous les pays membres se sont prononcés à maintes reprises contre ce génocide. Leurs opinions et leurs votes sont restés lettres mortes à cause de l’arrogance occidentale.

Nous célébrons le silence des armes et la cessation des tueries, mais nous ne sommes pas satisfait·es. Nous croyons, en tant qu'organisation de la société civile au Québec, que nous devons continuer à bâtir la paix et diffuser l'idée d'une paix juste, où tous les êtres humains voient leurs droits respectés et où ceux et celles qui les nient seront assis devant un tribunal pour répondre de leurs crimes. Nous estimons que notre obligation en tant que personnes exerçant leur plein droit d'action politique, comprenant cette action comme le droit d'exercer pleinement la citoyenneté dans notre environnement social, est de continuer à soutenir avec de nouveaux moyens de sensibilisation et de dénonciation afin que les idées de respect des droits humains imprègnent une société insensible et accommodante à des idées qui nous conduisent à la destruction.

Nous assistons avec stupeur à la défense de l’idéologie sioniste par nos dirigeant·es comme s’il s’agissait d’une idéologie acceptable, ce qui amène de larges secteurs de la société à croire qu’elle l’est. Les idées suprémacistes n’ont jamais été acceptables. Comme ne l’a jamais été l’esclavage ni la ségrégation raciale aux États-Unis, ni l’apartheid en Afrique du Sud, ni le national-socialisme en Allemagne, ni le fascisme en Italie, ni le sionisme aujourd’hui en Palestine et dans le reste du monde, que ses défenseurs se définissent ou non en tant que sionistes catholiques, sionistes juifs ou simplement sionistes. 

De la même manière, le colonialisme, qui au cours des derniers siècles a créé ou modifié les frontières de différents territoires et justifié le meurtre de leurs populations autochtones, n’est plus acceptable à notre époque, même si des voix menaçantes émergent à nouveau accompagnées par une nouvelle vague d'appropriations et de guerres. Ces mêmes voix sont comme par hasard celles qui défendent le plus le dernier des plus intenses des colonialismes de notre époque, le colonialisme israélien. 

Défendre la Palestine et ses droits légitimes, c’est défendre la paix dans le monde car personne ne voudrait se retrouver dans une situation comme celle que connaissent les Palestinien·nes depuis des décennies. C’est pourquoi nous célébrons la cessation des massacres à Gaza et nous la célébrons avec sa population, mais nous réaffirmons que le chemin vers la décolonisation du territoire est encore ardue et nécessite tous nos efforts.

 Nous sommes sur cette voie et nous continuerons sur cette voie, aux côtés des millions de personnes dans le monde qui, pendant tous ces mois de massacres à Gaza, sont descendues dans la rue en solidarité avec le peuple palestinien.  

Vive la Palestine. De la rivière à la mer. 

Collective Palestine Vivra.

Manuel Tapial

Le Canada, son histoire coloniale et le Moyen-Orient

En ces temps difficiles, ma mémoire me replace inévitablement à Madrid un 11 mars 2004. À cette époque, j'ai été témoin de l'attentat le plus sanglant que mon pays natal ait connu en démocratie. Cent quatre-vingt-treize personnes ont perdu la vie et deux mille cinquante ont été blessées à des degrés divers.

L'Espagne, alors gouvernée par José María Aznar, leader du Parti populaire, avait décidé de participer à la guerre et à l'occupation de l'Irak aux côtés de George Bush et de Tony Blair. Des millions de personnes manifestaient dans le monde entier contre la guerre et contre l'occupation d'un pays qui, situé à des milliers de kilomètres de notre réalité quotidienne, était devenu du jour au lendemain aux yeux des médias de communication une base de production d'armes de destruction massive qui mettrait en danger toute la population mondiale.  

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Inaugural Conference. A Platform for Palestinian Liberation

Baya El Hachemi

La militarisation de l’université

On assiste depuis quelques mois à une militarisation des espaces où devraient s’exercer la libre pensée et l’esprit critique.

 L'exclusion des étudiant·es dissidents de la vie universitaire et des campus et leur déshumanisation par les institutions universitaires, et ce, malgré la légitimité des décisions des associations étudiantes dans la poursuite de leurs revendications, sont le reflet de notre époque.

 La conscientisation à la cause palestinienne prend de l’ampleur sur les campus grâce au dévouement d’étudiant·es courageux qui ne se laissent pas intimider. Les sanctions, les expulsions, les plaintes et les persécutions policières renforcent un mouvement naissant qui, depuis le génocide à Gaza, connait un processus d'accélération inarrêtable dans la formation de ces étudiant·es, du jamais vu depuis des décennies.

 Les camps étudiants propalestiniens à Montréal, Toronto, Rome, Barcelone, Madrid ou Mexico, pour ne citer que quelques exemples, ont donné naissance à une sorte d'école d'activisme, qui au fil des années entraînera des répercussions dans les différents secteurs de la société dans lesquels ces dizaines de milliers de personnes auront pris place. La Palestine vivra.

La réponse à ces camps a été brutale, mais au-delà du démantèlement physique de ces derniers, cette violence n'a aucunement détourné les étudiant·es de leur objectif d’occuper leurs l'universités. En fait, cela n’a fait que renforcer leur détermination à exiger de leurs établissements d’enseignement la fin de leur collaboration avec Israël. Ni les violentes expulsions, ni les arrestations musclées, ni les attaques violentes perpétrées par des groupes pro-israéliens ont diminué la solidarité et l'engagement parmi les étudiant·es.

 Chaque fois qu’on les a attaqués, les étudiant·es ont reçu un vif soutien de la part de leur communauté. Chaque fois qu’on a tenté de bloquer leurs revendications, les étudiant·es ont répondu avec de nouvelles actions pour faire face à l’intolérable réalité quotidienne des massacres à Gaza.

 Ces mêmes étudiant·es remplissent les rues d’Europe et d’Amérique du Nord pour appeler à la solidarité avec la Palestine. Ces mêmes étudiant·es, qui se camouflent sous des cagoules pour mener des actions de protestation non violentes, sont à chaque fois punis par un système qui ne tolère pas la dissidence. Ce sont ces étudiant·es qui, en secret, créent de nouvelles façons technologiques de participation échappant à la censure, ou qui appellent à des actions courageuses dans les usines d'armement qui avec leurs juteux contrats parrainent le génocide en Palestine. On les retrouve enchainés aux ponts de Manhattan ou de Brooklyn, ou formant des chaines humaines pour couper l'accès à l'île de Montréal. Ce sont ces mêmes étudiant·es enfin qui soignent les blessé·es victimes des brutalités policières à Berlin, New York ou Rome.

 Le fait que les étudiant·es soient progressivement expulsés de l'université ne signifie aucunement qu'ils rentrent chez eux/elles. En fait, ce qui est prouvé, c'est que non seulement ces étudiant·es sont toujours à l'université, mais que leurs convictions imprègnent la société d’une manière exponentielle. Leur engagement inspire avec enthousiasme et espoir celles et ceux d'entre nous qui n’ont jamais baissé les bras mais qui, avec le temps, ont fini par se sentir seul·es dans leurs combats pour la Palestine.

15e anniversaire de l'attaque meurtrière contre la Flottille de la Liberté

En vue du printemps 2025, nous nous engageons depuis le Québec à aider la Coalition de la Flottille de la Liberté á collecter les fonds nécessaires à l'achat de nouveaux navires qui traverseront la mer Méditerranée à destination de Gaza, ainsi qu'à l'achat de matériel humanitaire de première nécessité.

Chez Palestine Vivra, nous savons que le changement commence avec des personnes comme vous. Chaque acte de solidarité, chaque dollar et chaque moment de votre temps nous rapproche de la réalisation de notre mission. Ensemble, nous pouvons créer un monde plus lumineux et plus compatissant pour tous et toutes.

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Palestine Vivra a la volonté de travailler en coopération avec d'autres organisations de la région pour faire de cette mission un succès.

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Rafeef Ziadah - 'We teach life, sir'

Écoutez Rafeef réciter son poème complet ici

“Today, my body was a TV’d massacre.

Today, my body was a TV’d massacre that had to fit into sound-bites and word limits.

Today, my body was a TV’d massacre that had to fit into sound-bites and word limits filled enough with statistics to counter measured response. And I perfected my English and I learned my UN resolutions. But still, he asked me, Ms. Ziadah, don’t you think that everything would be resolved if you would just stop teaching so much hatred to your children?

Pause.

I look inside of me for strength to be patient but patience is not at the tip of my tongue as the bombs drop over Gaza. Patience has just escaped me.

Pause. Smile. We teach life, sir.

Rafeef, remember to smile.

Pause.

We teach life, sir.....


Un manuel pour les dirigeants médiocres qui condamnent mais n’ordonnent pas 

Mesdames et messieurs, dirigeants mondiaux, cessez de vous cacher dans les coulisses en déléguant la responsabilité à d’autres. Le fait que le Conseil de sécurité de l’ONU ne prenne pas de décisions pour arrêter le génocide palestinien ne vous empêche pas de les prendre depuis les sièges que vous occupez. 

Un manuel pour les dirigeants médiocres qui condamnent mais n’ordonnent pas : 

1. Arrêtez immédiatement l’achat et la vente d’armes à Israël. 

2. Expulsez la mission diplomatique israélienne dans vos pays et retirez la vôtre du territoire israélien. 

3. Engagez-vous aux côtés de l’Afrique du Sud dans son procès contre Israël pour le génocide palestinien. 

4. Annulez toute aide que vous fournissez aux entreprises qui commercent avec Israël et pénalisez celles qui travaillent ou profitent de l’occupation illégale des territoires palestiniens. 

5. Expulsez les représentants d’Israël de toutes les sphères culturelles et sportives, en permettant à ces citoyens de participer sous n’importe quel autre drapeau. 

6. Ordonnez l’arrestation immédiate des citoyens d’Israël qui, alors qu’ils se trouvaient sur leur territoire national, ont participé à des crimes de guerre contre les Palestiniens, en les accusant de crimes contre l’humanité. 

C’est au moins ce que devrait faire tout dirigeant mondial qui souhaite mettre un terme au génocide en Palestine. Ce que nous voyons jusqu’à présent, ce sont des relations publiques entre des politiciens lâches, qui ne coûtent rien pour les dénoncer et les condamner, et cela n’affecte en rien l’impunité israélienne. Ne vous laissez pas tromper. #stopgenocide

Art Vivant

Plus de 40 groupes de musique se sont engagés auprès de Palestine Vivra. L'année prochaine, nous emmènerons la Palestine dans différents quartiers de Montréal et différents territoires du Québec. Si vous disposez d'un lieu et souhaitez le proposer de manière altruiste pour nos événements, contactez-nous.

La Chambre préliminaire I de la CPI rejette les exceptions d’incompétence soulevées par l’État d’Israël et délivre des mandats d’arrêt à l’encontre de MM. Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant

Aujourd’hui, 21 novembre 2024, la Chambre préliminaire I (« la Chambre ») de la Cour pénale internationale (« la Cour »), dans la situation dans l’État de Palestine, a rendu à l’unanimité deux décisions par lesquelles elle a rejeté les exceptions soulevées par l’État d’Israël (« Israël ») en vertu des articles 18 et 19 du Statut de Rome (« le Statut »). Elle a également délivré des mandats d’arrêt à l’encontre de MM. Benyamin Nétanyahou et Yoav Gallant.

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Pour la défense de l'enfance


Événements à venir en soutien à l'hôpital Al Nidaa dans le camp de réfugiés palestiniens d'Ein El Hilweh, au sud du Liban.

Drag 4 FUNds - Édition Palestine

Profitez d'un fabuleux spectacle de drag avec certains des meilleurs artistes de Montréal tout en amassant des fonds pour des causes importantes ! Cette édition est consacrée à la Palestine et au soutien à l'hôpital Al-Nidaa dans le camp de réfugiés palestiniens d'Ein El Hilweh, au sud du Liban.

Vous pouvez acheter votre billet ici

Marmara Fest

Concert de soutien aux projets Palestine Vivra. Tous les bénéfices des billets seront reversés à l'hôpital Al Nidaa, situé dans le camp de réfugiés palestiniens d'Ein El Hilweh, au sud du Liban. Musique pour la justice en Palestine.

Vous pouvez acheter votre billet ici

 L'Amérique latine avec la Palestine

Concert de solidarité avec la Palestine interprété par la communauté latino-américaine de Montréal. Tous les bénéfices de cette participation seront reversés à l'hôpital Al Nidaa du camp de réfugiés palestiniens d'Ein El Hilweh, dans le sud du Liban.

Vous pouvez acheter votre billet ici

 Femmes pour la Palestine


Événement organisé par des Québécoises en solidarité avec les femmes de Palestine. Les bénéfices de l'événement serviront à soutenir financièrement l'hôpital Al Nidaa, dans le camp de réfugiés palestiniens d'Ein El Hilweh, au sud du Liban. Ce sera notre action pour la Journée internationale de la femme. Rejoignez-nous le 15 mars.

 Dans le cadre du parcours de présentation de notre organisme, samedi prochain, le 7 et 8 décembre, nous serons au Trois Pistols et Quebec.

Venez nous rencontrer et en savoir plus nos propositions pour soutenir la cause palestinienne.

Noel pour la Palestine

Le 26 décembre prochain, Palestine Vivra souhaite vous inviter à passer une journée de coexistence familiale dans le but de passer un bon moment et, en même temps, de vous souvenir de toutes ces familles qui souffrent du génocide en Palestine. N'arrêtez pas de venir et d'élargir les réseaux de solidarité.

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